Bonjour,

Qui suis-je ? ma vision du monde.

Je me prénomme Yves-Marc, j’ai aujourd’hui 48 ans.

Originaire de la Bretagne et de la Normandie.

Mon chemin, depuis très jeune, m’a amené à découvrir le monde et bien d’autres mondes…..

Le monde tel que vous le connaissez

Ce monde occidental aseptisé fait de sacrifice, d’égoïsme, de dogme, de pensée unique, où seul l’argent, l’apparence fera que l’on s’inscrit dans une démarche de réussite ou bien d’échec.

« Le travail sera ta réussite. Ta voiture, ta maison seront le reflet de ton âme » plus tout sera grand et somptueux plus tu te sentiras fort, puissant et ta pensée devenue unique te fera oublier ce que tu es réellement, un être qui un jour est né et qui un jour rejoindra les étoiles.

Ce monde qui t’amènera à connaître la joie, de découvrir que tu peux être heureux de voir ta future femme devant l’hôtel en lui promettant la fidélité pour la vie, de voir un jour arrivé ton/tes enfants, de les voir grandir, de leur apporter ou d’essayer de leur apporter le bonheur et la sécurité, pour qu’ils s’épanouissent à leur tour et un jour peut-être à leur tour t’apporter la continuité de ton sang en t’offrant des petits enfants.

En fait, ce monde, cette vie que tu découvres être un combat de tous les instants qui te feras découvrir au même titre que tu voulais que l’on laisse la lumière dans ta chambre petit de peur que le monstre ne sorte de ton armoire, celui que tu ne vois pas et qui te harcèlera à chaque moment de ta vie.

La peur ou crainte : peur de perdre ce que tu as, peur que le regard de l’autre ne te montre un échec pré-programmé, peur de décevoir tes parents, peur de ne pouvoir t’inscrire dans le monde du tout en haut.

Le haut d’une catégorie sociale, de te dévaloriser parce que tu es ouvrier, au chômage, peur de ne pouvoir épater l’autre, peur de perdre ton travail et de devoir pointer à pôle emploi, peur de signer un contrat de travail sans obligation et reprocher tout à ton patron, de voir un jour peut être un huissier venir chez toi et noter sur une feuille ce qui représente toute ta vie et donc ton passé par ce que pour toi ta nouvelle croyance est de consommer ou tout simplement tenter une activité indépendante faite de non liberté, ou peur que l’on ne raye ta jaguar dans la rue,….

Peur de trouver l’amour et de le voir disparaître, peur de voir tes enfants ne pas avoir 10.000 jouets au pied du sapin pour compenser tes absences plutôt que de leur dire chaque jour que tu les aimes. Peur de parler avec ton voisin et préférer lui envoyer un SMS ou un mail pour lui dire que chaque matin son volet te réveille brusquement. Plutôt que de l’inviter à boire un café et lui expliquer simplement sans créer un conflit toxique pour vous deux.

Peur de ne pas avoir d ‘amis, enfin amis réels ou bien virtuels. De te sentir en quête d’une reconnaissance likée.

Peur de ne pas savoir aider ta femme à mettre la table parce qu’un homme ne doit pas faire cela, peur de te réfugier devant ton jeu vidéo pour fuir les devoirs de tes enfants… Peur de tromper ou d’être trompé….

Alors ai peur de toi, car seul ce qui est en toi fait parti de toi, peur de reprocher au moindre séisme la faute à l’autre, à notre société, à ton patron, à ton collègue de travail, au RSI, à ta femme ou à ton mari, à tes enfants ou bien à Micromania qui n’a pas reçu ton jeu de vie virtuel ou à la Fnac parce que ton lien de vie, ton portable, tablette ne marche plus en raison d’une obsolescence programmée.

Peur de mourir parce que tu fumes trop, alors que tu connais les résultats, peur de reculer tes décisions de vie qui te permettront de te réaliser, pour que le jour unique de ta mort, ta famille, tes amis te pleurent non pas parce qu’ils n’ont pas reçu ton mail mais tout simplement parce qu’ils sont fiers de toi, de t’avoir connu, de comprendre ce qu’a été ton combat, celui d’une vie.

Mais aussi les autres mondes… qui constituent notre terre.

Un monde passionnant vers des terres inconnues où je rencontrais des médecins de forêt dit shaman me montrer que notre regard d’occidental, l’estime, capable de se transformer en jaguar pour trouver une quelconque vérité grâce au serpent magique parce qu’il nous ai difficile de croire en la parole de nos prophètes et facile de se réfugier dans les rêves d’une autre vie.

le choc est un quotidien dans la découverte de l’autre et de soi, de découvrir que notre jugement oublie que même un dayak de Bornéo à mes 11 ans te dis que sa tribu n’a pas vu un blanc depuis 1952, t’ouvre sa porte, sa vie , te permette de participer à la dernière « danse de l’aigle » après avoir vérifier que tu commences à être pubère sans se douter que toutes les simplicités de sa vie font rêver nos cerveaux occidentaux à une vie plus en relation avec la nature que l’on détruit pour se régaler de « NuteLala » en détournant le regard devant le reportage où des Amérindiens se font expulser de leurs terres natales au Brésil pour que tu puisses mettre du bio-carburant dans ton moteur et te donner une conscience écologique, tu laisseras alors pousser ta barbe pour te référencer dans un groupe social quelconque et donner des leçons de moral.

A mes 18 ans, d’entendre les cris d’une jeune fille touareg , avec un morceau de bois dans la bouche, faite de courage qui est en train de se faire amputer un morceau de son pied à cause d’une infection. De voir son papa noble prince du Sahara accepté de faire boire du whisky à sa fille en priant son dieu pour excuser cet alcool qui ne servira qu’ a soulager celle-ci car le dispensaire n’a pas d’anesthésiant, et pourquoi il n’y a pas d’anesthésiant ?! , et pendant ce temps retirer mes chaussures pour laisser l’air passer entre mes orteils, l’air frais après 1 mois de traversée du Tanezrouf et de voir à côté de moi un homme si calme qui montre un regard émerveillé, complice, souriant devant mes pieds et à mon tour le regarder en lui rendant son sourire tout en découvrant que la lèpre lui a remplacé sa chaire par deux moignons. Je découvre que l’on peut être heureux grâce au bonheur de l’autre.

D’être seul sur un « pousse pousse » à Dakka entouré de milliers de gens à 10 ans et de voir une femme avec une petite fille dans les bras arrivées à percer le barrage de matraque pour me demander un bakchich, je suis en partance, alors je fouille mes poches et lui tends les quelques roupies qu’il me reste et je la vois repartir en courant pour revenir avec deux pains et m’en tendre un, je le mangerais en pleurant car apprendre peut faire souffrir et sentir sa main maternelle sur ma joue pour me dire que tout va bien se passer comme une maman attentive et que partager rend fier et heureux.

A mes 19 ans avec un Képi sur la tête, voir mon collègue tenir dans ses bras, sur le bord d’une autoroute, une maman qui ne retrouvera jamais plus sa petite fille, de voir ce gendarme chaque soir au pied du lampadaire de sa caserne pleurer une bouteille à la main la culpabilité de n’avoir rien pu faire.

A 47 ans, que le plus important est de transmettre et d’apprendre, alors que ceux qui sont en charge de cela se retrouvent dans un « burnout » éducatif car notre monde occidental n’est plus que tristesse intellectuelle alors que la connaissance fera de nos enfants des êtres libres et conscients et peut-être pas des milliardaires..

D’assister à mes 30 ans au départ pour les chemins éternels d’un vieil homme Wayampi qui allongé dans son hamac en coton contemple le grand anaconda qu’est la rivière Oyapock, de voir son passé disparaître à travers le son d’une radio d’un nouveau temps et de donner le dernier souffle de sa vie à regarder son futur jouer dans l’eau de la vie.

À mes 20 ans, sentir le long d’un layon de forêt amazonienne tout seul, la sensation d’être observé, de sentir les crocs se rapprocher de moi, de ressentir l’âme de mon ancêtre à l’entrée de sa grotte pour protéger sa tribu des dents de sabre.

À mes 9 ans à Elaé, de découvrir le regard apeuré des enfants avec qui je joue et de me voir fuir avec eux effrayés par le tremblement de la terre qui ne présage que le décollage de la première fusée Ariane.

D’être un soir de juillet au sommet du temple de borobudur à Java et d’absorber l’énergie de ce lieu magique et tenter en m’arrachant le bras de toucher la main de bouddha à travers cette cloche de pierre pour espérer faire un vœux, pour que l’humanité enfin se retrouve et se ressaisisse. J’ai fait ce vœux.

De me retrouver à 25 ans au pied d’un poissonnier de central park à New-york après une soirée au « Tunnel » un peu trop « chimiquée ». Et de voir que l’on coupe le poisson partout de la même façon.

De découvrir des mondes fabuleux tout en regardant le matin à 5 heures le vol des toucans au dessus des sauts Maripa en Guyane assis à coté de polissoirs vieux de 25.000 ans pendant des mois,

De faire à 9 ans une partie de billard avec un copain Légionnaire sur le son d’Alpha Blondie, l’entendre me dire qu’il préfère mourir pour un chien plutôt qu’un humain. Et voir cette bête de combat s’effondrer dans mes bras et ses larmes coulées sur mon épaule en me disant que l’homme devient fou par les horreurs qu’il fait, qu’il a connu, vu et participé.

De montrer à 36 ans en Tunisie que même toi tu peux bloquer un avion pour qu’une femme ne soit pas séparée de son enfant, que la soif d’énergie que tu as en toi ne sera pas plier par un général armé et dans l’avion du retour recevoir une carte de visite par une ombre sur laquelle est inscrite un numéro et armement.

Et tant d’autres aventures et d’expériences qui ne feront pas de moi un coach magnétiseur certifié par une formation de X jours pour me permettre d’avoir le statut de celui qui pourra te donner les réponses au chemin de ta vie

Que chaque jour la lumière est différente, que chaque jour est un émerveillement pour moi que je peux et que je sais transmettre.

Je ne suis pas coach sportif pour te faire maigrir. Tu maigriras par choix

Je ne suis pas coach de vie pour te dire comment vivre. Tu continuera ta vie choisie

je ne suis pas psychologue pour t’écouter pendant 20 ans. Le monde avance vite, pas le temps !

Je ne suis pas la vérité immuable du charlatan qui t’envoutera pour ton argent. Je suis toujours fauché

Que tu sois croyant ou non, que tu sois rouge, noir, jaune, et peut-être un jour bleu ou vert tu es mon sang et l’amour que j’ai de l’autre me guidera vers ton bien être.

Je suis un homme sans filtre, sans besoin de prouver, ni d’écraser, ni de manipuler.

Qui n’ai qu’empathie et qui mettra une longue expérience faite de joie, d’apprentissage, de tristesse, de désarroi, d’échec, d’énergie, de plaisir, de travail, de découverte et qui est toujours là.

Je suis celui qui te permettra d’avoir l’énergie pour trouver ta vérité et ton chemin et tes clés du bonheur et l’épanouissement personnel que chaque être à le droit d’obtenir

Mon argument commercial comme souvent dit ne sera pas : je suis à 100% …de supposition mais c’est mon être entier qui se mettra à genoux devant ta future force et mon bouclier qui nous permettra d’affronter tes peurs, tes tristesses pour qu’enfin l’énergie positive t’anime et que tu trouves la ou les solutions.

peut-être que tu as peur de ce que je suis,

ah la peur, peur de moi ou peur de te découvrir et de te comprendre!.

Je suis celui que l’on ne voit pas, mais que tu n’oublieras… jamais.

A bientôt

yvesmarc

 


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